06/01/2013

CONVALESCENCE AU CAP SAINT-JACQUES

Cap mythique, appelé Saint-Jacques par les marins portugais,
il fut vite un point stratégique, pour les français, une ville de garnison, un centre de convalescence,
une station balnéaire pour les permissions, à seulement 130 km de distance de Saïgon.
C’est le premier lieu que découvre les troupes en arrivant en Indochine après quelques semaines
de navigation sur les paquebots des Messageries Maritimes.
Émergeant à près de 500 mètres d’altitude, le Cap Saint-Jacques
constitue le dernier témoin de la cordillère annamitique.
Le phare du Cap Saint-Jacques construit en 1911 au sommet de la Petite Montagne. Il mesure 3 mètres de diamètre
sur 18 mètres de hauteur, une position fortifié jadis de quatre anciens canons français
qui autrefois défendaient la région contre les attaques navales.
Le phare offre une vue panoramique exceptionnelle sur l’ensemble du Cap Saint-Jacques.
7 juillet - août 7 août 1948, 1 mois de convalescence au
  centre de service de santé du Cap Saint-Jacques
1948, Cap Saint-Jacques, le poste à côté du phare

1948, dans les rues du Cap Saint-Jacques

1948, en chapeau de brousse
1948, ballade en «TAC-TAC», appelé ainsi à cause du bruit des sabots du cheval

1948, pose avec le cheval du «TAC-TAC»

1948, pose autour d'un cyclo-pousse

1948, Cap Saint-Jacques

1948, Cap Saint-Jacques, la Baie des Cocotiers

Cap Saint-Jacques, la plage, prise du quai de Lanessan

1948, Cap Saint-Jacques, la plage au pied de Cap Pointe à Quãng - Baie de Ti-ouan

1948, ghe giã, embarcation de pêche aux calmars du Cap Saint-Jacques
1948, l’Île de France, transportant d’important renfort pour l’Indochine,
ne pouvant remonter la rivière de Saïgon, jetant l’ancre au large du Cap Saint-Jacques.

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